Langage de celui qui hâble.
Sa hâblerie plutôt que sa science lui avait acquis quelque réputation à faire des cures de certaines maladies [FURETIÈRE, Roman bourgeois, livr. II, Hist. de Charrosselles, p. 229]
En Amérique, aucune hâblerie ne saurait subsister [à cause des journaux] ; le public n'est point trompé, n'y ayant là personne en pouvoir de mentir et d'imposer silence à tout contradicteur [P. L. COUR., Pamphl. des pamphl.]