Prov., fig. et pop., Être, se mettre dans le pétrin, Être, se mettre dans l'embarras.
PÉTRIN, s. m. PÉTRIR, v. act. [Pé-trein, pétri: 1re é fer. = Plusieurs écrivent pêtrein, pêtrir, avec l'accent circonflexe, pour marquer la supression de l's: on écrivait pestrein, pestrir; mais cet accent ne doit être employé que pour désigner l'e ouvert, et cet e est fermé dans ces deux mots.] Pétrin, aûtrement huche; cofre où l'on pétrit, et où l'on serre le pain. Pétrir, c'est détremper de la farine avec de l'eau, la remuer et en faire de la pâte. Pétrir du pain, un gâteau, etc. = Pétri se dit au figuré. "Il se croit pétri d'un autre limon que le reste des hommes.
Monstres pétris et de boue et de sang.
Rousseau.
Il est tout au plus du style médiocre.