étayement
ÉTAYEMENT
(é-tê-man ; et aussi, suivant quelques-uns, é-tè-ye-man) s. m.ÉTYMOLOGIE
- Étayer.
étayement
ÉTAYEMENT. s. m. Action d'étayer, ou État de ce qui est étayé.
étayement
ÉTAYEMENT, s. m. ÉTAYER, v. a. [Été-ie-man, ié: 1re et 2e é fer. 3e e muet au 1er, é fer. au 2d.] Étayement est, ou l'action d'étayer, ou l'éfet de cette action. Il est peu usité. Étayer, c'est apuyer avec des étaies. "Etayer une maison, un bâtiment. — Au fig. "Sa fortune a besoin d'être étayée. — En st. prov. on dit d'un homme qui prend des précautions inutiles, qu'il voudrait étayer le ciel.
REM. 1°. Le Dict. de Trév. et celui de l'Acad. mettent étayement. Le Rich. Port. renvoie à étaiement. = Pour le verbe, les uns écrivent et prononcent au présent, j'étaye, tu étayes, il étaye, ils étayent; les aûtres; j' étaie, tu étaies, etc.
2°. Il paraît qu'il est convenable d'écrire et de prononcer au présent du subjonctif et à l'imparfait de l'indicatif: nous étayions, vous étayiez, etc. pour les distinguer de l'impératif, étayons, étayez, et du présent de l'indicatif, nous étayons, vous étayez.