bâillement
bâillement
n.m.1. Action de bâiller : Il réprime un bâillement d'ennui.
2. Fait de bâiller, d'être entrouvert ; ouverture de ce qui bâille : Le bâillement de sa chemise.
Maxipoche 2014 © Larousse 2013
bâillement
(bɑjmɑ̃)nom masculin
personne action de bâiller étouffer un bâillement
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BÂILLEMENT
(bâ-lle-man, ll mouillées, et non ba-ye-man ; il faut avoir bien soin de donner à l'a le son marqué par l'accent circonflexe) s. m.1° Inspiration grande, forte et longue, indépendante de la volonté, avec écartement plus ou moins considérable des mâchoires, et suivie d'une expiration prolongée.
2° En grammaire, rencontre de deux voyelles, l'une à la fin d'un mot, l'autre au commencement du mot suivant. Nous disons plus souvent hiatus.
3° Maladie particulière des faucons.
HISTORIQUE
- XVIe s. Un ris, un baillement, comme quand on a envie de dormir, est reprehensible [AMYOT, Comm. il faut ouïr, etc. 21]
ÉTYMOLOGIE
- Bâiller.
Émile Littré's Dictionnaire de la langue française © 1872-1877
bâillement
BÂILLEMENT. n. m. Action de bâiller. Faire un bâillement prolongé. Être pris de bâillements. Manifester son ennui par des bâillements.
Dictionnaire de L'Académie française 8th Edition © 1932-5
baillement
Baillement, Traditio, Tributio.
Jean Nicot's Thresor de la langue française © 1606
bâillement
BâILLEMENT, s. m. BâILLER, v. n. On écrivait autrefois baaillement, baailler. Ils expriment l'action de respirer en ouvrant la bouche extraordinairement et involontairement. "Avoir de fréquens bâillemens; bâiller d'ennui, de sommeil.
Il se dit des chôses, figurément, dans le sens de s'entr'ouvrir~, être mal joint; porte qui bâille, cloison qui bâille.
Rem. Dans ces deux mots l'â est long et doit porter un acc. circ. Dans les suivans, il est bref et sans acc. Bâ-glie-man, bâ-glié; mouillez les ll.
Jean-François Féraud's Dictionaire critique de la langue française © 1787-1788
Traductions