campement
campement
n.m.CAMPEMENT
(kan-pe-man) s. m.HISTORIQUE
- XVIe s. Le roi voulant voir de plus près le campement du duc [D'AUB., Hist. III, 266]
ÉTYMOLOGIE
- Camper.
SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE
- CAMPEMENT. Ajoutez :
campement
campement
CAMPEMENT, s. m. CAMPER, v. n. [Kanpeman, Kanpé, 1re lon. 2e e muet au 1er, é fer. au 2d.] Le premier exprime l'action de camper et le camp lui-même: "Le campement est une des parties les plus essentielles d'un Général. "Dans notre premier campement, nous aprimes que l'énemi venoit à nous, etc. — Camper se dit d'une armée qui s'arrête en quelque lieu. "Nous campames; l'armée alla camper à la vûe des énemis.
Rem. Camper est plus usité au neutre qu'à l'actif ou au réciproque. On dit plutôt d'un Général, qu'il vint camper devant une telle place, qu'on ne dit qu'il y vint camper son armée, ou qu'il vint s'y camper. Rollin a pourtant dit: Il se vint donc camper devant la place. L'Acad. dit aussi, en parlant d'un Général: "Il se campe toujours avantageûsement: il s'étoit campé près d'une telle ville. Dans le Rich. Port. on l'emploie activement: "Ce Général a campé son Infanterie près de la rivière; et dans le Dict. Acad. "Il a campé son armée entre la montagne et la rivière. Il y a des exemples de toutes ces manières de parler.
Se camper se dit, dans le style simple, pour se placer: il est venu se camper devant nous: il s'est campé dans un fauteuil.
On dit, ironiquement, le voilà bien campé; le voilà dans l'embarrâs.
campement
camp, encampmentחוני (ז), מאהל (ז), מחנה (ז), מחנה אוהלים (ז), חֹנִי, מַחֲנֶה, מַחֲנֵה אֹהָלִים(het) kamperen, kamp, kampeerplaats, legerplaatsaccampamento, attendamentoлагер營tábor캠프ค่าย (kɑ̃pmɑ̃)nom masculin