dénuement
dénuement
n.m.dénuement
(denymɑ̃)nom masculin
DÉNUEMENT
(dé-nu-man) s. m.dénuement
dénuement
DÉNUEMENT, s. m. DÉNUER, v. a. [Pron. Dénûman, dénu-é; 1re é fer. 3e é fer. au 2d.] Dénuer, c'est dégarnir, priver des chôses regardées comme nécessaires. Denuement, dépouillement, privation. "La fortune l'a dénué de tout. "Il s' est dénué de tout pour ses enfans. "Dénuement de tout secours spirituel. "Il est dans un grand dénuement.
REM. Dénué, partic. s'emploie adjectivement, au propre comme au figuré, avec la prép. de: dénué de biens, de secours, d'assistance, de conseil. Dénué d'esprit, de bon sens, de grâce, d'agrément. "La valeur, dénuée des autres vertus, ne peut rendre un homme digne d'une véritable estime. — Dénuement n'est bon qu'en matière de dévotion. L'Acad. le met sans remarque; mais les exemples qu'elle en done, et que nous avons raportés, prouvent la justesse de cette observation, qui est de Bouhours. — Nous ajouterons que dénuement a un sens actif, il se dit de celui qui se dénûe lui-même; dénué, au contraire, a un sens passif, et se dit de celui qui est privé, malgré lui, des qualités qu'il desirerait d'avoir, et souvent de celles qu'il croit avoir.
dénuement
חיסרון כיס (ז), חֶסְרוֹן כִּיסdénuement
απογύμνωσηdénuement
destitutiondénuement
[denymɑ̃] nm → destitutiondans le plus grand dénuement [vivre, mourir] → in utter destitution