frayé, ée
FRAYÉ, ÉE1
(frè-ié, iée) part. passé de frayer 11° Rendu praticable par le cheminement.
Or c'est un grand chemin jadis assez frayé [RÉGNIER, Sat. XI]
J'ai toujours peine à me persuader que la route la plus frayée ne soit pas la meilleure [GENLIS, Ad. et Théod. t. I, lett. 38, p. 339, dans POUGENS]
2° S. m. Petite rainure que les couteliers tracent au bord du dos d'une lame.
FRAYÉ, ÉE2
(frè-ié, iée) part. passé de frayer 2Cheval frayé aux ars.
Émile Littré's Dictionnaire de la langue française © 1872-1877