imité, ée
IMITÉ, ÉE
(i-mi-té, tée) part. passé d'imiterIl n'est point de serpent ni de monstre odieux Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux [BOILEAU, Art p. III]
La comédie intitulée les Guêpes, et imitée par M. Racine dans les Plaideurs, expose au grand jour la fureur du peuple pour la procédure et le barreau [ROLLIN, Hist. anc. Œuv. t. v, p. 132, dans POUGENS]
Émile Littré's Dictionnaire de la langue française © 1872-1877