prélude
prélude
n.m.PRÉLUDE
(pré-lu-d') s. m.ÉTYMOLOGIE
- Voy. PRÉLUDER.
prélude
En termes de Musique, il se dit de Ce qu'on improvise sur un instrument pour se mettre dans le ton. Quelques mesures de prélude.
Il se dit aussi de Certaines compositions musicales qui forment le début d'une oeuvre Le prélude de l'Or du Rhin.
Par extension, il désigne des Pièces qui constituent à elles seules un tout. Les préludes de Chopin.
prélude
PRÉLUDE, s. m. PRÉLUDER, v. n. [1re é fer. dern. e muet au 1er, é fer. au 2d.] Prélude est proprement ce qu'on chante ou ce qu'on joûe sur un instrument, ou pour se mettre dans le ton dans lequel on veut chanter ou jouer, ou pour essayer la portée de sa voix, ou pour juger si l'instrument est d'acord. = Les Musiciens apèlent aussi préludes, certaines pièces de musique, composées dans le goût des préludes, qui se font sur le champ. = Préluder, c'est jouer des préludes, ou faire des préludes sur un instrument. "Préluder de caprice. "Il fatigue, à force de préluder: il prélude sur tous les tons. = C'est aussi essayer sa voix par une suite de sons diférens, avant que de chanter un air.
PRÉLUDE, au figuré, ce qui prépare à.. "Les fréquens bâillemens sont souvent les préludes de la fièvre. "Ces malheurs n'étoient que le prélude des calamités dont on étoit menacé. = Préluder ne se dit point en ce sens. Un Auteur moderne l'emploie activement. "Le Socinien, à l'exemple d'Abailard, qui semble avoir préludé le Socinianisme, ne veut rien recevoir, qui ne soit de la portée de sa raison. — Je ne désaprouverais pas l'emploi de ce verbe avec la prép. à pour régime: qui semble avoir préludé au Socinianisme. — L'Acad. ne le met que neutre, sans régime, et seulement au propre, en parlant des Musiciens.
prélude
prélude
preludeאקדמה (נ), אתחלתא (נ)voorspel, inleiding, prelude, prelude, preludiumpředehraPräludium, Vorspiel前奏전주곡 (pʀelyd)nom masculin