ronflement
(Mot repris de ronflements)ronflement
n.m.RONFLEMENT
(ron-fle-man) s. m.HISTORIQUE
- XVIe s. Ronflement [MONET, Dict.]
ÉTYMOLOGIE
- Ronfler.
ronflement
Il se dit figurément de Certains bruits qui ont quelque rapport avec le ronflement d'un homme. Le ronflement de l'orgue. Le ronflement d'une toupie. Le ronflement d'un moteur.
ronflement
RONFLEMENT, s. m. RONFLER, v. n. RONFLEUR, EUSE, s. m. et f. [Ronfle-man, flé, fleur, fleû-ze: 1re lon. 3e e muet au 1er, é fer. au 2d, lon. au 4e.] Ils expriment l'action de faire un certain bruit de la gorge et des narines en respirant pendant le someil. "Il ne fait que ronfler toute la nuit: "Elle ronfle à faire tout trembler. Rouss. "Son ronflement s'entend de toute la maison. "C'est un ronfleur, une ronfleûse insuportable.
Rem. 1°. On dit ronfler, au figuré, du canon, de la trompette, de l'orgue et d'autres instrumens. = 2°. Ronflement, dit, Th. Corneille, est meilleur aujourd'hui (à la fin du dernier Siècle) que du tems de M. De Vaugelas; et l'on peut s'en servir sans scrupule. La Touche observait quelque tems aprês que l'Acad. l'aproûve. "Le ronflement des vents, de la mer. Richelet. = Ronfleur ne se dit qu' au propre.
ronflement
ronflement
snore, chugging, roarחרחור (ז), טרטור (ז), נחירה (נ), נחר (ז), נחרה (נ), נְחִירָה, נַחַרgeronkdengkur, dengkuran, keruhschnarchenChrápáníSnorkenSnarkning (ʀɔ̃fləmɑ̃)nom masculin